Information concernant l’extinction du cuivre – Yvelines fibre

L’arrêt du réseau téléphonique historique dans les Yvelines

À la suite de la décision de l’opérateur Orange de fermer progressivement le réseau téléphonique historique, un programme national, encadré par l’ARCEP (Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes), est mis en œuvre afin de migrer sur un réseau fibre plus moderne, d’ici 2030.

Cette décision est motivée par les avantages offerts par le réseau fibre optique, qui est plus performant, plus fiable, plus rapide et plus écologique que le réseau dit « cuivre », car beaucoup moins énergivore.

Une expérimentation pilote a été lancée en 2020 dans la commune de Lévis-Saint-Nom qui a permis d’identifier les processus nécessaires à l’arrêt de ce réseau cuivre. D’autres communes à l’instar de Guyancourt, Le Mesnil-Saint-Denis, Magny-les-Hameaux et Voisins-le-Bretonneux, font l’objet de ce même dispositif d’ici la fin 2024.

Cette année, Orange proposera de nouvelles communes yvelinoises, parmi deux millions de foyers français, en tenant compte d’informations fournies par Yvelines Fibre, les collectivités et l’ARCEP. Les principaux critères de sélection sont notamment la couverture et la qualité du réseau fibre.

Aujourd’hui, 110 000 foyers et entreprises répartis dans 150 communes rurales du territoire bénéficient d’une couverture en fibre optique grâce au réseau Yvelines Fibre. Un réseau présenté parmi les plus fiables du marché en 2022, selon une analyse de l’ARCEP publiée en janvier de cette année.

Face à cette échéance et à l’accélération des usages numériques (télémédecine, télétravail…), il est important de prévoir la migration vers la fibre optique afin d’anticiper au mieux les travaux de raccordement à la fibre de votre logement.

Pour vous renseigner sur votre éligibilité et les offres disponibles, vous pouvez consulter le site Internet www.yvelinesfibre.fr

 

Le Département des Yvelines agit contre la désertification médicale avec un projet ambitieux de télémédecine

Votre médecin traitant n’est pas disponible ? Vous pouvez à présent consulter un médecin à distance pour une prise en charge ponctuelle dans une des cabines de télémédecine* déployées par le Département des Yvelines.

Simples et pratiques, 8 nouvelles cabines de télémédecine ouvrent sur les villes de Chanteloup-les-Vignes, Conflans-Sainte-Honorine, Les Mureaux, Mantes-la-Jolie, Mantes-la-Ville, Meulan-en-Yvelines, Saint-Germain-en-Laye et Rambouillet. Un Bus santé itinérant complète cette offre innovante grâce à son cabinet de télémédecine intégré.

Pour trouver la cabine la plus proche et réserver un créneau, RDV sur www.yvelines-telemedecine.fr et laissez-vous guider.

Méthode fiable et innovante, la télémédecine permet de bénéficier d’une expérience proche de celle que l’on peut avoir dans un cabinet médical et permet d’avoir un RDV dans les meilleurs délais.

Comment ça marche ?

Allez sur www.yvelines-telemedecine.fr pour trouver toutes les informations nécessaires : créez votre compte, recherchez la cabine la plus proche et réservez le créneau de votre choix.

Le RDV est confirmé par email et sms, vous recevrez un sms de rappel 2h avant votre RDV.

L’heure de votre RDV est arrivée, vous vous installez dans la cabine de télémédecine muni de votre carte vitale. La téléconsultation peut commencer, vous êtes guidé par le médecin téléconsultant dans l’utilisation des appareils connectés. A l’issue de votre RDV, vous récupérez votre bilan et si nécessaire votre ordonnance. Vos documents sont conservés sur votre espace patient sécurisé. Vous pouvez à tout moment les communiquer à votre médecin traitant.                                                                                                                  

La télémédecine, fruit d’un partenariat  

Le projet télémédecine est porté conjointement par le Département des Yvelines et son opérateur Seine et Yvelines Numérique.
Il est élaboré de concert avec les partenaires de santé (Agence régionale de santé, Caisse primaire d’assurance maladie) ainsi qu’avec les structures représentant les médecins du territoire (Ordre des médecins, Plateforme territoriale d’appui – APTA 78 -, communautés professionnelles territoriales de santé).
Dans le respect du programme national « Ma Santé 2022 », il a pour seul objet de permettre l’accès aux soins aux personnes qui en sont les plus éloignées.

+d’infos sur www.yvelines-telemedecine.fr

 

 

 

 

Diagnostic de performance énergétique (DPE)/ nouvelles obligations

Le DPE, pour « diagnostic de performance énergétique », est un incontournable pour qui souhaite vendre ou louer un bien immobilier. Cet outil permet d’estimer la consommation d’énergie d’un logement ou d’un bâtiment, et d’évaluer ainsi son impact écologique.

Depuis le 1er janvier 2023, un logement situé en France métropolitaine est qualifié d’énergétiquement décent lorsque sa consommation d’énergie (chauffage, éclairage, eau chaude, ventilation, refroidissement…) est inférieure à 450 kWh/m2 d’énergie finale par mètre carré de surface habitable et par an.

Les logements dont la consommation d’énergie dépasse cette valeur ne peuvent plus être proposés à la location.

Cette interdiction des biens les plus énergivores sur le marché locatif concernera à terme :

  • les logements classés G à compter de 2025
  • les logements classés F à compter de 2028
  • les logements classés E à compter de 2034.

À savoir :

Les programmes neufs n’échappent pas à la règle. Le DPE est en effet obligatoire dans le cas d’un achat de logement sur plan, c’est-à-dire un logement en cours de construction. On parle alors de « DPE neuf ». Il doit dans ce cas être initié et donc payé par le maître d’ouvrage et est là aussi valable dix ans.

Le promoteur immobilier remettra alors le résultat du DPE à l’acquéreur au plus tard le jour de la livraison de son logement neuf.

Le DPE a une durée de validité de dix ans, sauf exceptions ci-après :

  • les DPE réalisés entre le 1er janvier 2013 et le 31 décembre 2017 inclus sont valables jusqu’au 31 décembre 2022
  • les DPE réalisés entre le 1er janvier 2018 et le 30 juin 2021 inclus sont valables jusqu’au 31 décembre 2024.

Même si les DPE réalisés entre le 1er janvier 2018 et le 30 juin 2021 restent valables jusqu’au 31 décembre 2024, il est préférable de faire réaliser un nouveau DPE. L’acheteur ou le locataire risque en effet de vouloir disposer d’un diagnostic réalisé selon la nouvelle réglementation.

À savoir :

  • Dès le 1er avril 2023, un audit énergétique devra être réalisé en cas de vente d’un bien à usage d’habitation, d’un logement individuel et d’un immeuble collectif d’habitation en monopropriété appartenant aux classes énergétiques F ou G..
  • Ce document viendra compléter le DPE et ne le remplacera donc pas. L’audit énergétique est en quelque sorte une version plus poussée du DPE. Le volet travaux d’amélioration de la performance énergétique et climatique sera notamment enrichi.

Plus d’infos sur : https://www.economie.gouv.fr/particuliers

Du 03 au 09 avril : Semaine des métiers du tourisme

Faire découvrir les métiers du tourisme au grand public. C’est l’objectif de la toute première Semaine des métiers du tourisme qui se tiendra du 3 au 9 avril 2023. Durant cette semaine l’ensemble des acteurs de la filière, professionnels comme formateurs, ouvriront leurs portes au grand public, notamment des jeunes et demandeurs d’emploi.

Au programme, des visites d’entreprises, des journées portes ouvertes au sein des écoles, des forums de recrutement, des ateliers, des conférences, ou encore des journées d’immersion en entreprises, etc.

Plus d’infos sur https://www.economie.gouv.fr/semaine-metiers-tourisme-labellisation-evenements

Campagne de prévention des intoxications au monoxyde de carbone en période hivernale 2022-2023

L’Île-de-France est l’une des régions les plus touchées par les intoxications au monoxyde de carbone, avec environ 150 épisodes d’intoxication sur une saison de chauffe annuelle. Le monoxyde de carbone reste en France la première cause de mort toxique accidentelle. Cette intoxication affecte aussi bien les individus isolés que les groupes (famille).

Le monoxyde de carbone est un gaz asphyxiant indétectable : il est invisible, inodore et non irritant. Il résulte d’une mauvaise combustion au sein d’un appareil de chauffage fonctionnant au gaz, au bois, au charbon, à l’essence, au fuel ou encore à l’éthanol. Sa densité étant voisine de celle de l’air, il se diffuse donc très vite dans l’environnement, et peut donner lieu à des intoxications mortelles en quelques minutes.

Tout appareil thermique (moteur, appareil de cuisson, de chauffage ou de production d’eau chaude) utilisant un combustible contenant du carbone est susceptible de provoquer une intoxication au monoxyde de carbone, s’il n’est pas installé, utilisé ou entretenu correctement.

Quels sont les appareils à surveiller ?

Tous les types d’appareils sont concernés :

  • les chaudières (bois, charbon, gaz, fioul) ;
  • les chauffe-eau et chauffe-bains ;
  • les inserts de cheminées, poêles ;
  • les chauffages mobiles d’appoint ;
  • les cuisinières (bois, charbon, gaz) ;
  • les moteurs automobiles dans les garages ;
  • les groupes électrogènes à essence ou à fioul et tout moteur thermique fixe ou mobile ;
  • les appareils de fortune : type brasero ;
  • les appareils de cuisson d’extérieur : barbecue, plancha au gaz.

Comment survient une intoxication ?

Dans une majorité des cas, les accidents résultent de :

  • la mauvaise évacuation des produits de combustion (conduit de fumée obstrué ou mal dimensionné) ;
  • l’absence de ventilation dans la pièce où est installé l’appareil (pièces calfeutrées, sorties d’air bouchées) ;
  • l’absence ou du défaut d’entretien des appareils de chauffage et de production d’eau chaude ainsi que les inserts, poêles, cuisinières, chauffages mobiles d’appoint ;
  • la vétusté des appareils ;
  • la mauvaise utilisation de certains appareils (appareils de chauffage d’appoint utilisés en continu par exemple, groupes électrogènes…).

Parfois deux ou plusieurs facteurs cités interviennent dans l’accident.

Dans ces conditions, le monoxyde de carbone est inhalé par la personne exposée, puis se fixe sur les globules rouges et les cellules musculaires où il entre en compétition avec l’oxygène. Il agit comme un gaz asphyxiant, parfois mortel, qui immobilise la victime, et l’empêche de se secourir.

Les symptômes d’une intoxication

L’intoxication au monoxyde de carbone peut intervenir de deux façons différentes :

L’intoxication aiguë

Elle entraîne une intervention des secours en urgence. Elle a pour effet des vertiges, maux de tête, nausées, une perte de connaissance, voire un coma et le décès dans les cas les plus graves. En cas d’intoxication aiguë, dans la majorité des cas, les symptômes disparaissent en 48 heures. Cependant, il arrive que plusieurs jours, voire plusieurs semaines (de 2 à 40 jours) après l’intoxication, des troubles apparaissent : il peut s’agir de migraines, de vertiges, de sensation de faiblesse musculaire, de troubles de l’audition, de la vue, de la mémoire ou du comportement, d’insomnie. L’apparition de ces séquelles n’est pas systématique mais est mal connue et nécessite une vigilance particulière.

L’intoxication chronique

Elle se manifeste par des symptômes communs à d’autres maladies et donc difficilement diagnosticable : maux de tête, vertiges, malaises, nausées, troubles de la vision, de l’odorat ou du goût, troubles du sommeil, de la mémoire, de l’attention, douleurs thoraciques, abdominales, musculaires peuvent être des conséquences selon les individus.

Le monoxyde de carbone a été décrit comme «le grand imitateur» car les intoxications donnent lieu à un grand nombre de faux diagnostics de grippe, de gastro-entérites ou d’autres affections bénignes.

Le monoxyde de carbone : 5 conseils pratiques

1- Avant l’hiver, faire systématiquement intervenir un professionnel qualifié pour contrôler les installations

Faire vérifier et entretenir chaudières, chauffe-eau, chauffe-bains, inserts et poêles. Il est recommandé de signer un contrat d’entretien garantissant une visite annuelle de prévention (réglage, nettoyage et remplacement des pièces défectueuses).

Faire vérifier et entretenir les conduits de fumées (par ramonage mécanique) chaque année. Le conduit de cheminée doit être en bon état et raccordé à la chaudière. Il doit déboucher loin de tout obstacle qui nuirait à l’évacuation des fumées.

2- Toute l’année et particulièrement pendant la période de chauffe, assurer une bonne ventilation du logement :

Aérer le logement tous les jours pendant au moins 10 minutes, même quand il fait froid.

Ne pas obstruer les entrées et sorties d’air (grilles d’aération dans les cuisines, salles d’eau et chaufferies principalement).

Si une pièce est insuffisamment aérée, la combustion au sein des appareils sera incomplète et émettra du monoxyde de carbone.

3- Utiliser de manière appropriée les appareils à combustion :

Ne jamais faire fonctionner les chauffages d’appoint en continu. Ils sont conçus pour une utilisation brève et par intermittence uniquement.

Respecter scrupuleusement les consignes d’utilisation des appareils à combustion (se référer au mode d’emploi du fabricant), en particulier les utilisations proscrites en lieux fermés (barbecue, groupe électrogène…).

Ne jamais utiliser pour se chauffer des appareils non destinés à cet usage : cuisinière, brasero…

4- Entretenir les appareils :

Nettoyer régulièrement les brûleurs de la cuisinière à gaz (on doit voir la flamme dans chaque orifice). S’ils sont encrassés, le mélange air-gaz ne s’effectue pas dans de bonnes conditions et le brûleur peut s’éteindre, notamment quand il est au ralenti. Une flamme bien réglée ne doit pas noircir le fond des casseroles.

5- En cas d’installation de nouveaux appareils (groupes électrogènes ou appareils à gaz) :

Ne jamais placer les groupes électrogènes dans un lieu fermé (maison, cave, garage…) : ils doivent impérativement être installés à l’extérieur des bâtiments.

S’assurer de la bonne installation et du bon fonctionnement de tout nouvel appareil à gaz avant sa mise en service et exiger un certificat de conformité auprès de l’installateur.

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L’équipement doit être d’un montant supérieur à 150 € HT pour être éligible à la subvention.

Comment bénéficier d’une aide ?

La communauté d’agglomération a établi un document de demande de subvention.

Le propriétaire qui désire installer un récupérateur d’eau de pluie doit porter à la connaissance de l’intercommunalité les éléments relatifs au lieu d’implantation de son équipement, au contenu de son projet, aux caractéristiques de l’installation : taille, hauteur, longueur, largeur et volume, qui permettent d’apprécier l’importance du projet. Rambouillet Territoires subventionne les dispositifs ayant un caractère définitif. Elle porte également un intérêt particulier au système de pompe mis en place, à l’utilisation de l’énergie solaire, aux conditions de raccordement aux gouttières de l’habitation et à l’usage qui sera fait des eaux récupérées.

La demande de subvention devra être effectuée dans l’année suivant l’acquisition du matériel concerné.

Le dossier est instruit par un technicien de la communauté d’agglomération. Celui-ci peut se rendre sur le site pour prendre des photos qui compléteront le dossier.

Le dossier, une fois complet, est étudié par la commission GEMAPI qui émet un avis au regard du respect des critères définis par délibération. Enfin, le Conseil communautaire statue sur l’attribution de la subvention.